Nom : Marple (prononcez Marpeule XD)
Prénom : Janus
Âge de votre mort: 21 ans
Fonction: euuh là j’avoue que je sais pas trop ce qu’il faut mettre
Sexualité : Bisexuel
Description mentale: Il s’en fout, il s’en fout de tout. S'il est gentil, agréable et compréhensif, ce n’est que pure hypocrisie et rien d’autre. Il aimait être sec et remballer les gens, c’est son petit jeu favori. Il pense que la race humaine est inférieure et rongée de l’intérieur. Les femmes ne sont que pour lui objets sexuels mais il est vrai qu’il garde cette image de sa mère… Elles sont belles ? Ce n’est que pure poison, tout comme leur parfum. Voilà ce qu’il pense d’elle. Les hommes quand à eux, sont essentiellement des lâches corrompus et il a tendance à en vouloir pour la moindre faute, il ne pardonne pas. Il aimerait vraiment pouvoir mais c’est plus fort que lui, jamais il ne pouvait pardonné, sauf cette fois où… c’était du passé. Cependant, il s’attache aux choses simples de la vie, c’est étrange mais il préfère les choses aux êtres humains…
Description Physique: Grand, mince mais assez costaud, Janus est une jeune homme bien bâtit et imposant un respect assez étrange, on le prend pour un type pas fréquentable à cause de sa dégaine de mauvais garçon. Ses yeux orange et sa chevelure rousse lui offre par contre une mine de gamin. Entre ses deux aspects, Janus est un homme un peu différent mais après tout très beau et d’un charme implacable. Il a une allure miteuse et on aime pas trop s’approcher de lui mais si on le regarde de plus près, on se prend de pitié, ce que lui n’aime pas du tout.
Histoire : Né dans un petit quartier de banlieue londonienne, Janus a connut une enfance tout à fait normale. Le problème c’est qu’elle fut normale, certes mais qu’en apparence. Commençons par le tout début, lorsque, les poumons emplis d’une air toute nouvelle pour lui, le jeune Janus Marple poussa son premier cri. Il fut si strident et si sonore que toutes les infirmières durent se boucher les oreilles pour ne pas devenir sourdes. On aurait dit que pour cette nouvelle âme, vivre était déjà d’une souffrance infinie. Dans le lit, tout près de lui, une femme, allongée de tout son long, une rousse au teint pâle, les cheveux ondulant surs ses maigres épaules, elle semblait d’une fragilité incroyable. Elle était belle, certes mais on pouvait sans aucun doute la briser très facilement. Une âme pure c’est sûr, enfin presque. L’homme à côté d’elle portait une moustache noire d’ébène mais rien à envier aux cheveux d’autant plus noirs, bien coiffés, toujours impeccablement habillé et élégant. Il touchait à présent la petite menotte de son fils et il esquissa une larme qui ruissela sur sa joue.
A trois ans, Janus était un tout petit garçon, un peu rondelet, le sourire facile et un rire des plus désopilant. On voyait toujours ses petites pommettes roses rieuses et il était l’exemple de la gentillesse même. Jamais un enfant de son âge ne disait bonjour et merci à tous les grands parents, oncles et tantes bien grasses. Mais Janus, lui, oui il le faisait avec plaisir. C’était même un peu trop pour un gamin de son âge. C’était sans doute grâce à sa mère qui l’élevait avec énormément de douceur et son père qui lui enseigner la politesse avec fermeté. « Un homme poli en vaut au moins deux mal élevés » disait-il souvent au petit garçon roux comme sa mère.
A dix ans, il se passa une chose très étrange qui bouleversa toutes les normes qu’avait apprises le jeune Janus et qui changea son comportement et son destin. Lui qui était voué à un avenir de gentleman, vous aurez bien des surprises. Je ne suis pas trop habilité à vous dévoiler la suite du récit tellement tout devint si… marginal. Hum, pour vous je ferais une petite entorse au règlement mais, n’allez pas vous plaindre…
Bien, maintenant que tout est clair (n’allez pas tout répéter à mon supérieur… XD), je continue. Alors, le jeune garçon âgé à peine de 10 ans, il apprit en arrivant à son école que, d’un coup, son professeur avait eut un empêchement et, très bizarrement, l’école n’assurerait pas les cours. Autrement dit, il avait sa journée de libre. C‘était tout de même très étrange mais il fallait croire que c’était le destin. Janus traîna un peu avec ses copains et décida de rentrer chez lui pour le repas de midi. Il entra doucement dans la maison, sans faire de bruit. Il savait que sa mère devait être là mais que son père était partit travailler. Le pavillon était silencieux lorsque l’on était sur le pas de la porte mais en s’approchant un peu, le jeune garçon entendit des voix venant de la chambre de sa mère. Sans réfléchir un seul instant, il entreprit de lui faire une blague et, sur la pointe des pieds, il se dirigea vers le dit lieux. La porte entrouverte ne laissa passer que quelques images que le petit roux s’empressa de regarder. Ainsi, en une fraction de seconde, toute la confiance et l’amour qu’il avait pour sa mère s’écroula d’un seul coup. Il la vit, poussant des petits cris, dans les bras d’un autre homme, un grand blond bien trop jeune pour elle. Elle s’abandonnait complètement à lui, nue, les seins contre son torse, dégoulinant de sueur, en disant sans cesse « Oh oui ! » Pour lui, ce n’était pas nouveau mais c’était, pour la première fois, en direct. Depuis ce jour il détesta sa mère au plus haut point mais découvrit une chose toute nouvelle, l’hypocrisie.
En effet, il souriait toujours très amicalement à sa génitrice mais, même si cela se voyait, il refusait tout contacte physique avec elle. Elle ne s’en rendit pas compte et mit cet étrange phénomène sur le compte de l’adolescence. Il n’était plus un gamin et elle ne savait pas Ô combien c’était vrai. La nature humaine avait été bafouée et les femmes n’étaient maintenant que des objets sexuels. Car, quelques années plus tard, pour ses quatorze ans, une fille qui, il fallait le dire, faisait un peu pouf, l’aborda, le sourire aux lèvres. Une heure plus tard, ils étaient tous les deux dans sa chambre en train de pousser des cris infernaux. C’était la première fois de Janus et ce fut la pire. Après que l’acte soit fini, cette jeune demoiselle tendit la main et de son souffle parfumé, elle dit :
« Ca te feras 50 livres mon chou »
Janus entra dans une colère noire et fit voler tout ce qu’il y avait dans la pièce. Elle sortit comme une furie en gueulant « Cinglé !! ». Il avait une haine assez atroce pour les femmes mais avouait que leur précieux utérus lui apportait bien des plaisirs. Enfin, il allait découvrir que ce n’était finalement pas les seules personnes à pouvoir lui offrir ce plaisir.
A ses 15 ans, il était devenu LE garçon à éviter dans son école. Il avait pourtant tout du jeune homme modèle mais son tempérament bien connu dans tout l’établissement faisait fuir plus d’une personne. Chez lui, il était toujours très sage et, il revenait avec des airs de chien battus, la queue entre les jambes avec des tonnes de mots de ses professeurs, tous mécontents bien entendu. Arriva le jour où la mère eut une petite conversation avec son mari qui, lui était très absent ces temps ci.
« Chéri, tu sais, je me fais du soucis pour Janus. Il est faible et j’ai peur que les autres enfants le maltraitent et lui fassent tout le temps porter le chapeau. Parce qu’il rentre souvent avec des mots de ses professeurs, c’est étrange, non ? »
Si elle savait la pauvre…
« Mais enfin ma biche » Répondit le mari « Tu te fais du soucis pour rien, il est grand, il peut se défendre tout seul maintenant… »
Alors qu’ils discutaient tous les deux, de l’autre côté de la maison, Janus fouillait ardemment le bureau de son père. Il pensait y trouver des cigarettes et en utiliser une ou deux, rien de bien méchants, mais il tomba sur bien mieux. Des papiers… où il y lu dessus des termes étranges. Et au bout d’une bonne demi heure, il parvint au bout de ce document qui lui apprit bien long sur son paternel. Un homme mauvais, un pourri, un arnaqueur de première, un salaud. Lui, il ne valait pas mieux que sa mère en fin de compte. Il resta froid, devant ces pages remplies d’une écriture maladroite et penchée. Il ne bougeait plus mais il avait envie de pleurer, de pleurer toues les larmes de son corps. Plus rien n’avait d’importance à ses yeux. Les femmes n’étaient que des salopes qui ne valaient rien et maintenant, voilà que les hommes, à leur tour, n’étaient que pure vermine. D’un coup, plus rien n’avait de sens pour Janus et, pour lui, la race humaine n’était que pure folie et qu’excréments. La famille, la patrie, tout ceci n’avait plus de valeur pour lui, maintenant il était seul. Il avait peut être tendance à tout dramatiser mais il faut me croire, la vie du jeune adolescent s’écroula ce soir là.
Il vivait toujours chez ses parents car c’était un homme intelligent et responsable. Il n’avait aucune envie de se vendre pour une bouchée de pain et il savait pertinemment que c’était ce qui l’attendait si il quittait la maison à son âge. Là, ses parents comprirent, avec beaucoup de retard, qu’il avait perdu leur fils, leur fils unique. Il était loin maintenant, son corps était là mais sa tête était dans un autre monde, un autre univers… Il restait distant, s’enfermait constamment dans sa chambre, sortait tard le soir, ramener des notes très mauvaise et on appelait souvent à la maison pour dire qu’il venait de sécher les cours. Sa mère pleurait beaucoup mais continuait à s’envoyer en l’air avec des jeunes garçons. Son père, lui, était de moins en moins présent, sûrement avec une secrétaire trop jeune et trop maquillée. Il le savait, lui que tout le monde était pareil. Janus, quand il sortait le soir, allait dans des endroits très étranges où peu de personnes étaient habilitées à rentrer. Il enchaînait soirée gothique avec des virées bières et autre chose peu recommandable.
Un jour, alors qu’il errait dans les rues de Londres à la recherche d’un peu de plaisir et de distraction, quand un jeune garçon s’approcha de lui, habillé assez étrangement, un casquette enfoncée sur sa tête. Il ne connut jamais son prénom mais ce qui se passa cette nuit fut assez extra ordinaire pour un petit garçon bien normal des beaux quartiers de la banlieue. Le garçon à la casquette se dirigea alors vers lui et lui sourit amicalement, un sourire doux et rassurant. Ce n’était pas un type exploité par des hommes en noirs, c’était juste un gars un peu pommé comme lui. Ils se retrouvaient l’un chez l’autre, dans leurs regards, leurs attitudes. Sans vraiment comprendre, Janus fut entraîné dans une petite ruelle et le jeune garçon qui se trouvait devant lui commença à lui caresser les fesses et à l’embrasser. Il fut très réticent tout d’abord puis, au bout de quelques secondes, il se laissa totalement abandonné par ce jeune inconnu. Ils firent l’amour une fois, puis deux et trois en une soirée. Il retrouvait chez lui tout le mal être et l’innocence de son enfance. Il l’aimait oui, ça c’est sûr. C’était son premier grand amour et ce fut un garçon qui lui apporta. Il se revirent des dizaines de fois, se donnant rendez vous toujours dans cette ruelle devenue mythique. Puis, deux mois plus tard, il ne le revit plus. Il ne venait plus au rendez vous. Ce garçon dont il ne connaissait même pas le nom l’avait abandonné mais étrangement, il ne lui en voulait pas, il fut clément envers une autre personne, ce fut la première et la dernière fois de toute sa vie. Il pleura longtemps mais surmonta cette douloureuse perte. Durant le moment de chagrin qui exista dans son cœur, il se détacha encore plus de ses parents et décida de se barrer définitivement. Il n’avait que 17 ans.
Sa vie fut plutôt miséreuse et pour pouvoir survivre, il fut employé comme tueur à gage. C’était un métier qui, contrairement à ce que l’on peut croire, ne rapportait pas terriblement. Dans un appartement miteux, il menait sa vie difficilement mais il avait prit sa décision et en souvenir de ce garçon à la casquette, il décida de ne plus se mentir, surtout vis-à-vis de ses parents. Une enquête fut ouverte puis bien vite refermée, tout le monde s’en fichait d’un ado en fugue. Son quotidien se résumait à attirer des personnes dans des endroits très peu fréquentés. Janus préférait de loin les petites ruelles se sentant plus à l’aise. Il les attirait donc puis les tuait dans la moindre émotion. De toute façon, il pensait que les humains n’étaient que vermines alors cela ne le dérangeait pas tellement en fait. Il lisait beaucoup entre ses meurtres et ses virées nocturnes de baise intense (hihi coquin !). Il se nourrissait surtout de livre très noirs mais tellement bien ficelés et d’une lecture difficile et lente. C’était étrange comme choix… Il décida que le soir de ses 21 ans, il se suiciderait dans un jardin public. Le soir même, à minuit précise, il sortit de chez lui et se commença sa marche, seul, se dirigeant vers Hyde Park, un petit parc très sympathique où il aimait s’y promener.
Un homme, un père, conduisait tranquillement sur une route normale de londres. Il faisait des heures supplémentaires pour pouvoir payer la pension que l’avocat de sa femme avait fixé auparavant pour les enfants qu’elle avait la charge. Il roulait donc et la fatigue l’emporta tristement et d’un seul coup, il s’endormit à son volant. A ce moment, un jeune homme, d’une vingtaine d’année à peine, peut être vingt et un ans… Un grand roux, le regard vide et une étrange arme dans sa main. Le choc fut brutal et aucun des deux ne survécut.
Janus sentait ses membres l’abandonnaient. Il le savait, il était en train de mourir. Cette idée ne lui déplut pas, c’est ce qu’il comptait faire dans peu de temps. Il tourna la tête avec ce qui lui restait de force et jeta un dernier regard vers le parc qu’il aimait tant. Il laissa une larme couler sur sa joue et sourit tristement. Il était tellement heureux de quitter ses gens, cette vie Cependant, il lui resta comme un goût d’amertume dans la bouche, tout aurait pu être différent…
Comment avez vous connu ce forum ?? : Par un autre forum (la grande aventure)